300 av J.-C., Memphis. À l'ombre de la statue majestueuse d'Alexandre le Grand, un hoplite et un scribe, deux amis de longue date, se remémorent leurs glorieuses campagnes menées auprès de l'empereur. Conquérant né, stratège génial, roi divin… les superlatifs ne manquent pas pour désigner celui qui fit du petit royaume de Macédoine le plus grand empire que le monde ait connu. Une ambition démesurée, marquée par une volonté d'unifier le monde grec et la civilisation perse. Mais une aspiration illusoire, car comme tous les hommes exceptionnels, Alexandre le Grand était admiré... mais aussi détesté.