Le landais volant T.4Babagarage, Sénégal, printemps 2008. Le baron accompagne une association humanitaire qui vient poser trois kilomètres de canalisation pour relier le village au château d'eau de Barbarage. Le travail commence, dans la bonne humeur, même s'il faut faire avec les politiques, marabouts et autres policiers dont l'intérêt pour le projet est loin d'être humanitaire. Cette histoire se base sur un voyage fait par Nicolas Dumontheuil (accompagné par Christophe Dabitch) en 2008 à Babagarage au Sénégal... Pour son dernier voyage, le baron se rend au Québec, sur les traces de son ancêtre, Antoine Pandar de Cadillac, parti découvrir le nouveau monde, avant de fonder le fort Ponchartrain de Détroit en 1701. Son nom sera donné à la célèbre marque automobile en 1902 pour le bicentenaire de la fondation de la ville de Détroit |
| | Le landais volant T.3Où qu'il aille, où qu'il soit, le baron vit toujours des aventures aussi trépidantes que surprenantes ! À Tikal, une des plus belles cités Mayas, au nord-est du Guatemala, Jean-Dextre, pourtant rompu à tous les traquenards et malgré son flair occitan légendaire, est aux prises avec le seau de merde... C'est une coutume de bizutage des touristes ! Une expérience humiliante, qui le perturbe terriblement, car enfin, il n'est pas un touriste ! Arrivé, le 11 septembre 2001, dans un hôtel de luxe à Antigua, le baron est perplexe quant à la gravité de l'attentat perpétré contre les tours du World Trade Center, en comparaison au résultat du match crucial de football entre le Salvador et le Guatemala ; comme quoi, tout est relatif. |
| | Le landais volant T.1Un jour naquit dans l'héroïque bourgade de Cadillac sur Garonne, le baron Jean-Dextre Pandar de Cadillac. Qui est-il ? De la limousine, il a le coffre, le brillant, la reprise et la suspension. L'endurance aussi. Du nom illustre, il a toutes les valeurs poivrées de la Gascogne ! Pour ce premier titre, nous le retrouvons au Mali. Avec ses certitudes, et son envie de bien faire. Surtout ne pas passer pour un néo-colon. Le problème étant qu'à trop vouloir bien faire, on accumule les maladresses. |
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