Les mystères de la IIIème république T.5Londres, octobre 1943. Sous l'impulsion du général de Gaulle, le BCRA (Bureau Central de Renseignements et d'Actions clandestines de la France Libre) met une priorité à unifier la Résistance en France, pour le moment déchirée entre les gaullistes et les partisans de l'ancien général vichyste Henri Giraud. À Paris, le commissaire Peretti est chargé d'aller rencontrer le responsable du mouvement giraudiste Renaissance : un dénommé Féval. Mais il ignore que derrière ce nom de code se cache une vieille connaissance qu'il aurait préféré ne pas recroiser... |
| | Les mystères de la IIIème république T.4Vichy, 1940. Une semaine à peine après la proclamation de Pétain en chef de l'État français, le Parlement adopte une loi permettant de se débarrasser sans formalité de tout fonctionnaire qui ne donnerait pas satisfaction... 2 ans plus tard, dans le Paris occupé, le commissaire Peretti enquête sur le meurtre de l'un de ses anciens hommes : l'inspecteur Perrier. Il s'agirait probablement d'un règlement de compte lié au juteux marché noir qui s'est installé pendant l'Occupation allemande... |
| | Les mystères de la IIIème république T.3Paris, fin 1937. Albert Devigny et la plupart des activistes de son organisation d'extrême droite sont maintenant sous les verrous. Seul manque à l'appel André Paillol, alias le « Tueur dévot », qui a disparu de la circulation après avoir forcé un barrage de gendarmerie. Alors que l'un de ses adjoints est sur les traces du criminel, le commissaire Franck Peretti mène parallèlement une enquête où l'acronyme SAIC revient régulièrement. Officiellement un centre voué à la documentation industrielle et commerciale ou à l'étude des mouvements politiques, cette « Société anonyme de l'industrie et du commerce » serait en réalité une entreprise fantôme... |
| | Les mystères de la IIIème république T.2Novembre 1936. Le ministre de l'Intérieur en exercice, Roger Allendrot, est retrouvé mort noyé dans un étang en forêt de Rambouillet. L'enquête conclut à un suicide. Un an plus tard, le commissaire Peretti revient sur l'affaire. La thèse du suicide ne paraît plus si évidente. En effet, le policier se rend vite compte que l'autopsie avait été bâclée. Cela aurait-il à voir avec les prises de position du ministre contre les ligues nationalistes et antisémites qui pullulaient à l'époque? |
|